Il fait 7 °C quand nous quittons l'hôtel à 8 h du matin. Faut dire que nous sommes à plus de 2000 mètres d'altitude. Heureusement çà se réchauffe vite et lorsque nous arrivons au village indien de San Juan Chamula, le soleil brille et la tempèrature est clémente. Dans ce village vivent, en autarcie, des descendants des mayas qui ont gardé leurs coutumes ancestrales et leurs croyances animistes. Le plus surprenant est l'église qui paraît normale de l'extérieur et qui est étonnante à l'intérieur. Pas de bancs, pas de prêtre, le sol est jonché d'épines de sapin et des centaines de bougies sont allumées à même le sol, à côté de bouteilles de coca ou d'autres boissons. Les fidèles sont assis par terre, prient et vénèrent leurs saints dont le plus important à leurs yeux est Saint Jean Baptiste. Les étrangers doivent payer un droit d'entrée pour y pénétrer et il est strictement interdit d'y prendre des photos. J'ai scanné deux cartes postales achetées dans le village pour donner une idée de l'ambiance très particulière qui règne dans ce lieu de culte. Cerise sur le gâteau : c'était jour de carnaval et des espèces de guerriers sillonnaient les rues en courant et en brandissant des drapeaux. Un autre monde .....
jeudi 23 février 2012
Mexique : San Juan Chamula
Vendredi 17 février 2012
Il fait 7 °C quand nous quittons l'hôtel à 8 h du matin. Faut dire que nous sommes à plus de 2000 mètres d'altitude. Heureusement çà se réchauffe vite et lorsque nous arrivons au village indien de San Juan Chamula, le soleil brille et la tempèrature est clémente. Dans ce village vivent, en autarcie, des descendants des mayas qui ont gardé leurs coutumes ancestrales et leurs croyances animistes. Le plus surprenant est l'église qui paraît normale de l'extérieur et qui est étonnante à l'intérieur. Pas de bancs, pas de prêtre, le sol est jonché d'épines de sapin et des centaines de bougies sont allumées à même le sol, à côté de bouteilles de coca ou d'autres boissons. Les fidèles sont assis par terre, prient et vénèrent leurs saints dont le plus important à leurs yeux est Saint Jean Baptiste. Les étrangers doivent payer un droit d'entrée pour y pénétrer et il est strictement interdit d'y prendre des photos. J'ai scanné deux cartes postales achetées dans le village pour donner une idée de l'ambiance très particulière qui règne dans ce lieu de culte. Cerise sur le gâteau : c'était jour de carnaval et des espèces de guerriers sillonnaient les rues en courant et en brandissant des drapeaux. Un autre monde .....
Il fait 7 °C quand nous quittons l'hôtel à 8 h du matin. Faut dire que nous sommes à plus de 2000 mètres d'altitude. Heureusement çà se réchauffe vite et lorsque nous arrivons au village indien de San Juan Chamula, le soleil brille et la tempèrature est clémente. Dans ce village vivent, en autarcie, des descendants des mayas qui ont gardé leurs coutumes ancestrales et leurs croyances animistes. Le plus surprenant est l'église qui paraît normale de l'extérieur et qui est étonnante à l'intérieur. Pas de bancs, pas de prêtre, le sol est jonché d'épines de sapin et des centaines de bougies sont allumées à même le sol, à côté de bouteilles de coca ou d'autres boissons. Les fidèles sont assis par terre, prient et vénèrent leurs saints dont le plus important à leurs yeux est Saint Jean Baptiste. Les étrangers doivent payer un droit d'entrée pour y pénétrer et il est strictement interdit d'y prendre des photos. J'ai scanné deux cartes postales achetées dans le village pour donner une idée de l'ambiance très particulière qui règne dans ce lieu de culte. Cerise sur le gâteau : c'était jour de carnaval et des espèces de guerriers sillonnaient les rues en courant et en brandissant des drapeaux. Un autre monde .....
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